La famille Peytraud
Bertrand Peytraud
employé au chemin de fer du midi épouse le 14 juin 1859 en la mairie de Bordeaux Jeanne Coelina Ferrand née à Bordeaux le 14 juillet 1837 fille de Jean Ferrand marchand ( il était fabriquant et marchand d’articles en porcelaines ) et d’Antoinette Saillac tous domiciliés au 33 place du marché neuf à Bordeaux. Parmi les témoins, Antoine Ferrand 31 ans frère de l’épouse.
De cette union sont issus:
1) Antoinette
Lucie Peytraud née le 09 avril 1860 à 9h au
33 place du marché neuf à Bordeaux.
2) Antoine
Daniel Peytraud né le 06 septembre 1865 à 19h dans
la gare de Castelnau-Rivière où Bertrand Peytraud était
chef de station.
En 1887, puis en 1888 lors de la naissance de Jeanne
Coelina Valentine Magnien, le couple Peytraud-Ferrand habitait chez
leur fille au 15 rue Larganimière à Toulouse. Il prend sa
retraite à St Thibault-St Satur dans le Cher. Bertrand
Peytraud est décédé à Paris entre 1906
et 1910. Jeanne Coelina Ferrand est décédée
le 02 septembre 1918 à 24h au 1 rue Meunier à Moulins dans
l’ Allier. Les déclarants étant sa fille Antoinette
Peytraud et Albert Michot domicilié
à Yseure.
1) Antoinette
Lucie Peytraud a épousé le 17 novembre 1887 à15h
en la mairie de Toulouse Félix
Magnien né le 08 avril 1861 à Napoléon
( La Roche sur Yon ) fils de feu Louis Magnien
décédé le 18 septembre 1873 à Vandenesse et
de Marie-Anne Gilliotte. Sa profession étant négociant en
vin aux entrepôts de Bercy. Parmi les témoins: Raoul
Peytraud 32 ans ,propriétaire. La tradition familiale rapporte
que Félix Magnien jouait en bourse et qu’ayant essuyé une
lourde perte il “piqua un coup de sang” qui l’emporta. Son décés
se situe entre 1906 et 1910 à Paris.
De cette union est issue:
2) Antoine
Daniel Peytraud effectua son service militaire au Tonkin d’où
il rapporta de nombreux souvenirs, et malheureusement des maladies ( certainement
la malaria ou la fièvre jaune ). Il épouse le 5 novembre
1898 à Parsy Jeanne Desvignes. Il habitait
à Bois-Colombes mais travaillait à Paris. Lors d’une pause
dejeuner se sentant “très
las” il s’assit sur un banc et s’endormit pour toujours. C’était
entre 1906 et 1908.
De cette union naquit:
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